... la suite.
Dimanche après-midi, nous voilà sur le bateau pour l’île du Sud. Une traversée de 3 heures à guetter des dauphins (qu’on ne trouvera pas), à regarder le paysage. Entrée dans le port de Picton, la mer côtoyant ces falaises, magnifique. Nous voilà repartie sur les routes, direction le parc National d’Abel Tasman.
Lundi 13 février (joyeux anni Pauline). Réveil difficile, on souhaitait faire du canoë mais ce ne sera pas possible, Hugo est trop jeune. On prend donc le bateau taxi (décision pris en 5 minutes, dans le centre d’info car il y en a un qui part 10 minutes plus tard, pique nique jeté dans le sac à dos avec les maillots de bain et c’est partit). 1h de taxi bateau, qui nous montre des phoques, puis nous dépose sur une plage. On a fait une randonnée de 14 km dans la forêt et le long de la côte (de belles baies) avec une belle frayeur lorsqu’on a du traverser une plage alors que la marée remontait, beaucoup trop vite et comme on n’est pas des géantes, les sacs à dos allaient prendre l’eau. Hugo sur les épaules de son père, nous immergé dans l’eau froide, les sacs à dos attendant Auré dans un coin en sécurité. Heureusement qu’Auré réfléchit avant de foncer car il nous a étudié les meilleurs coins pour passer. Après une journée d’aventure, un bon Fish and chips (le 1
er pour maman), puis départ pour de nouvelle contrée :
Punakaika.
Mardi,
Punakaika et ses
pancakes de roche. Puis seulement une courte ballade le long d’une rivière dans une forêt bien humide (seulement Auré et moi car Hugo a fait une colère et n’a jamais voulu décoller du parking, alors maman est resté coincé avec lui). Puis départ pour les Glaciers, sous la pluie avec un 1
er essaie de conduite du camper van pour la mère.
Mercredi, on commence par le Glacier
Frantz-Joseph, un peu frustrant de voir la glace et de ne pas pouvoir s’approcher à moins de 80m (pour des raisons de sécurité, il y a eu des morts qui se sont fait écraser par des chutes de glace). Un petit tour de Lac (le Lac
Macpherson, ou l’on est censé faire de belle photo mais le soleil n’étant pas là…). Le second glacier, le
Fox, avec une glace plus bleu et on peu s’approcher un peu plus près. Puis mauvaise nouvelle, j’ai mal étudié la carte de l’île du Sud, on ne pourra pas aller au
Mt Cook car il n’y a pas de route directe entre le glacier et cet impressionnant Mont. Du coup on part pour
Queenstown, mais maman plante une roue du camper dans la boue (heureusement qu’une seule), nous voilà donc à essayer de pousser le van mais sans y parvenir. Heureusement un couple viendra nous aider à nous dépatouiller de là. Une nouvelle douche et shampoing à notre actif dans l’une des nombreuses rivières bien froide.
Jeudi, réveil matinal par de nombreux klaxonnes (surement des gens pas content qu’on soit stationné sur le bord de leur chemin). Petit-dej au bord du lac de
Wanaka, au menu pancake (hum). Visite d’un village de mineur chinois, puis on part pour
Queenstown. Visite des jardins de la ville, shopping pendant qu’Auré fait du « jetboat » dans la rivière ; puis un bon chocolat chaud et des glaces pour les garçons chez un super chocolatier. Et c’est reparti pour une nouvelle destination : les
Milford Sound.
Vendredi, grosse déception une nouvelle fois Hugo est trop jeune pour le Kayak, il reste seulement la solution gros bateau de touriste pour visiter les Fiords, mais Auré ne veux pas. On ira donc faire une ballade en forêt avec une cascade et qui se termine par un lac en hauteur, dur dur la grimpette.
Samedi, départ pour le Sud de l’île, on prend en route un auto stoppeur Hollandais (on essaye de caser maman). On arrive dans la région des Catlins, première renconte à Waipapa point avec des Lions de mer. Puis Curio Bay où l’on a la chance de voir des pingouins (au yeux jaunes) de très près. On laisse notre Hollandais dans une auberge de jeunesse.
Dimanche, nous allons voir de nouvelle chute d’eau
: les Mc Clean Falls, au passage on récupère notre auto stoppeur et c’est reparti pour une ballade sur la plage pour côtoyer une nouvelle fois les Lions de mer (j’adore trop). On se dirige sur
Nugget point où l’on aperçoit une énorme colonies de phoques et des oiseaux marin blanc qui on un bec en forme de cuillère (spoonbill).
Lundi, toujours en compagnie de Théo, on se ballade à travers les champs puis on atterrie dans une baie ou l’on découvre un pingouin sur un rocher entrain de faire un brin de toilette, celui-ci est trop mignon avec ses sourcils jaune tout touffu (pingouin Fiorland).
Mardi, on remonte la côte, on pose Théo à
Dunedin, ou l’on décide de rester pour visiter. Mais c’est une ville d’étudiant, Auré a détesté, il y a rien à faire et les maisons ne sont pas en bonne état. Les jeunes avait du faire la fête la veille car il y avait des cannettes de partout (jardin, trottoir, sur les perrons…). On a visité la ville en bus, c’était gratuit, alors on a sauté sur l’occasion mais en faite c’était pour les nouveaux étudiants, on a donc découvert les cafés, les Mac do, l’université, les salles de sport et les endroits ou on pouvait louer des appartements.
Mercredi, c’est la
Péninsule de Bank, à l’Est de
Christchurch, la ou les Français on débarqué deux jours après les Anglais et voilà comment la Nouvelle-Zélande aurai pu parler Français ce qui nous aurai bien arrangé. Visite de ce petit village bien sympa, avec de jolies noms de rue et maison avec notre doux langage. On séjourne dans une ferme camping.
Jeudi les garçons vont sur un voilier observer le Hector dauphin, le plus petit au monde. Pendant ce temps nous faisons une ballade dans la propriété des fermiers avec ramassage de moules (assez dur de parvenir jusqu’à la côte).
Le vendredi, ce fut notre tour d’aller voir et nager avec les dauphins, Hugo ne pouvait pas venir car c’était sur un petit bateau à moteur, donc pas de siège. Les dauphins étaient peu nombreux et pas très intéressé. J’ai été déçu car j’en ai seulement vu un lorsque j’étais dans l’eau, mais maman en e bien profité.
Samedi, marché à Christchurch, pratiquement un an après le tremblement de terre. Visite de la ville, enfin de ce qui est accessible, le centre est fermé. C’est une ville très jolies avec de beaux bâtiments en pierre mais c’est impressionnant d’arriver au centre et que tout soit fermé. Les commerçants on aménagés leur boutique dans des containers. On visite le musée puis les jardins.
Dimanche, jour du départ, on décide de faire une brocante avant de partir et là seulement deux heures avant de partir pour l’aéroport on trouve le moyen de perdre Hugo. Trois adultes pour un enfant comme dirai mamie Framboise : « bravo ». On l’a quand même cherché 25 minutes avant de le retrouver, Monsieur était retourné au camper van, tout penaud sans même verse une larmichette ou avoir peur. Il a trouvé une maman sur le chemin, lui a dit qu’il nous avait perdu, lui a montré notre van (le parking était pourtant loin du marché), Auré l’a retrouvé alors qu’il revenait au poste de garde. Une belle frayeur.
Voila, 3 belles semaines de vacances en camper van qui se sont achevées, loin du confort, des téléphones, des ordinateurs, très peu d’obligation, un sentiment de liberté incroyable ou l’on dort et mange ou l’on veut et quand on veut, ou l’on découvre des paysages jusque la inconnues, ou l’on ajuste notre parcours au gré des découvertes. Bref, la reprise du travail à été dure...