On est assez content de nous, un CDI pour le père Auré, quelques heures pour moi (bon dans la précipitation j’ai un peu merdé en sautant sur tout ce qui passait, résultat dans les semaines à venir je vais beaucoup courir pour pas grand-chose, on fera mieux plus tard). Une maison à peut près fini d’être meublée et pour pas cher. Un petit gars qui est passé à l’école et qui comprend et parle de mieux en mieux l’anglais.
La routine commence à s’installer, l’hiver aussi… adieu le soleil (à l’autre bout de la terre ça nargue déjà). Bonjour la pluie et le froid (enfin ça s’est par ce qu’on a seulement en tout et pour tout qu’un chauffage pour toute la maison).
Aurélien à beaucoup de travail en ce moment mais il trouve quand même le temps de crée (le voilà artiste maintenant, ou plutôt architecte, l’Australie l’inspire). Il nous a donc crée un meuble de rangement pour la chambre d’Hugo et cette semaine une chaise, mais celle-ci sera à retravailler finalement, Hugo teste tout les prototypes, dernière invention d’hier soir, un alphabet en bois. Il prépare, tout en douceur son fils, aller Hugo au travail, écrit « papa tu es le plus fort ».
Quand à moi, j’ai démarré en douceur mercredi dernier en allant donner les cours de français à une des écoles de ma copine, hier j’ai fait les deux (une journée bien crevante, et oui j’ai perdu le rythme). J’ai démarré ce lundi des cours d’anglais (bon ça promet car en fait je suis qu’avec des asiatiques et j’ai un peu de mal à les comprendre, à vrai dire je croyais qu’il parlais chinois mais en fait non c’était bien de l’anglais mais ils sont tous sympa alors…) dans une association et l’après-midi je fais du bénévolat pour eux.
Et enfin, enfin !!! je débute mardi prochain le concours de poésie (déjà deux semaines que ça a commencé mais peu d’école inscrite pour ces deux premières semaines), je vais donc être envoyé dans une école mardi et une autre jeudi, en espérant que je serais envoyé toutes les semaines deux jours. Et oui la fourmi doit commencer son travail si elle veut rentrer voir le petit têtard de sa sœur. Et ben quoi vous aviez cru que je rentrais pour vous voir, et ben non c’est juste pour le têtard.
